Le domaine Philippe Gilbert a choisi le chemin contraignant de la certification, d’abord en AB, avec Ecocert (2006), puis avec le syndicat international des vignerons en culture bio-dynamique : Biodyvin dès 2007.
Il nous est apparu important de borner les choses, d’annoncer la couleur et d’accepter un regard extérieur sur notre travail. La certification n’est pas une science exacte, loin s’en faut, mais elle permet de faire un bilan régulier dans le cadre du contrôle annuel : être en veille, faire le point n’est pas un luxe, c’est une hygiène de vie.
L’appartenance à un organisme comme Biodyvin c’est aussi accéder à une communauté de vignerons avec lesquels il est bon et sain de partager ses doutes mais aussi son enthousiasme et ses convictions. C’est de l’émulation bien comprise dans un contexte climatique et économique de plus en plus chahuté et illisible…
Choisir entre La découverte et l’ignorance
